le thread de myspace

[Ghost Rider]

Pour ceux qui ne connaissent pas, My Space est une sorte de lieu de rencontre virtuel qui compte plus de 96 millions d'utilisateurs où les groupes, gens, labels etc. se font une page perso.

En fait, pour les groupes/labels/mag etc. c'est vraiment cool car ça permet de se faire connaître via le net gratuitement par plein de gens. C'est intéressant, car on découvre pas mal de très bons petits groupes qui ne sont pas forcément très connus.

http://www.myspace.com

c'est pour quand la page officielle d'asphalte???

si certain d'entre vous ont une page myspace n'hésitez pas à la mettre dans ce topic

[pierre]

c'est pour quand la page officielle d'asphalte???

regarde là

[Shinigami]

Trop de "emo kids" sur myspace... donc, non merci.

[David]

Je suis trop vieux pour ces conn..., euh ce genre de truc !

Pis 96 mio de personnes à rencontrer virutellement ça fait trop, j'arriverais jamais à me rappeler tous les noms.

[Pav]

Trop de "emo kids" sur myspace... donc, non merci.

Merci, je croiyais que j'étais le seul à passer largement trop de temps sur les forums anglophones.

[nan]

Trop de "emo kids" sur myspace... donc, non merci.

kesako?

[Pav]

Trop de "emo kids" sur myspace... donc, non merci.

kesako?

EMO ( 2 définitions)

Genre of softcore punk music that integrates unenthusiastic melodramatic 17 year olds who dont smile, high pitched overwrought lyrics and inaudible guitar rifts with tight wool sweaters, tighter jeans, itchy scarfs (even in the summer), ripped chucks with favorite bands signature, black square rimmed glasses, and ebony greasy unwashed hair that is required to cover at least 3/5 ths of the face at an angle.

Punk music on estrogen. Often acoustic guitar with soft, high male vocals that dwell exessively on the singer's feelings, especially melancholy remembrances of past relationships/mistakes in life. A form of music that diverged from punk in the '80s, the name "emo" is derived from the emotive style of the lyrics and music. This genre has lately been marketed heavily by the music industry to teenagers with bands such as Dashboard Confessional and Taking Back Sunday, and has seen much commercial and mainstream success. The music has also spawned a subculture which conforms to certain conventions in dress such as tight sweatshirts, tight band T-shirts and horn-rim glasses. Adherents profess to exessively melancholy temperments. Males that adhere to the emo subculture are sometimes confused with metrosexuals; indeed the line between the two is somwhat blurred, though both groups claim to be intouch with their emotional side. The ephemeral and hackneyed nature of emo songwriting suggests that its audience will be restricted largely to teenagers. the genre suffers from a lack of credibility outside the aforementioned demographic group, much like current Nu Metal bands.

EMO BOY (1 définition)

A male person, typically between the ages of 20 to 35, whose lugubrial nature is firmly entrenched within a policy of excessively up-to-date fashions and self-apologetic philosophies. While it may seem that the emo boy is a sensitive and sincere archetype, most instances are typically narcissistically and oedipally motivated approval-seekers by nature who achieve catharsis with the perpetual maintenence and acknowledgement of a perfectly inoffensive facade as subconsciously and consciously constructed by the emo boy himself. The emo boy is a child of the women's rights movement through the mid-to-late twentieth century and the wrongfully antagonistic public perceptions associated with modern feminism; emo boys gather much of their inspiration from the more nihilistic aspects of 1980's rock/punk bands, typically due to it's prolifically morose tones and androgynous fashions. In other words, the emo boy is a xy chromosome-based apology for the sinful excesses of a patriarchal society, achieved chiefly through the adoption of more stereotypically feminine traits while outwardly denying identification with the more stereotypically bad male attributes and behaviours. Non-muscular, distant, quietly vain, sensitive, nice, cultured, apologetic, and intimately dark; the emo boy chooses to correlate as closely as possible to the label of 'deep' through careful censorship and grooming, rather than by way of erudition and direct illumination (which could be viewed as adversarial or condescending) even though the average emo boy displays a higher capacity for intellect than most other male fashion-identifiable cliques.

tout pris sur www.urbandictionnary.com C'est dommage qu'il y ait pas de réference à myspace.

[Ghost Rider]

c'est qu'il y pas mal de emo kids mais il y a des gens de tous âge, même de 99 ans ...

Les origines du mouvement

Ce genre de rock alternatif dérivé du punk apparaît en 1984 à Washington aux États-Unis. Il est le produit de la tentative de combiner la culture hardcore (straight edge) avec de la musique plus douce, plus portée vers des sentiments « néo-romantiques », anti-machistes. Là où le hardcore possédait déjà des voix variées exprimant une gamme de sentiments allant de la rage à la haine en passant par la joie, l'emocore a aussi transformé la musique notamment dans l'utilisation de guitares plus lentes mais tout aussi lourdes. L'instrumentation est principalement dominée par des guitares aux harmonies travaillées.

Portée par des groupes comme Rites of Spring, Embrace et Hoover la première vague d'Emo s'éteint en 1992. L'emo repart pourtant au milieu des années 1990. Le groupe Jimmy Eat World devient le porte drapeau de ce genre à partir de 1996 avec leur album Static Prevails. Le groupe américain Dashboard Confessional connaît également un grand succès au début des années 2000, et est propulsé sur les chaînes mainstream comme MTV.

Le déclin

Depuis lors, le terme "Emo" est utilisé par les compagnies de disques un peu à tort et à travers afin de profiter du mouvement… À noter que les groupes eux-mêmes (Jimmy Eat World notamment) refusent cette étiquette "emo" et se présentent plutôt comme des rockers indépendants… On note depuis la "mainstreamisation" du mouvement la création d'un véritable fossé entre les fans de la première vague et les groupes maintenant connus : Dashboard Confessional est complètement renié par les fans de la première heure.

De plus, le mouvemement emo subit énormément de vérité et il est "à la mode" voire même "de bon goût" de tourner les emos en les présentant comme des adolescents pathétiques faisant mine de se taillader les veines tout en pleurant sur de la musique triste. De plus, le fait que cette scène ait été portée au mainstream réduit beaucoup de son "intérêt" en tant que sous-culture underground. C'est ainsi depuis quelques années un véritable revers que connaît ce mouvement et l'émergence d'une autre sous-culture, plus underground que ce qu'est devenu l'emo, le remplace progressivement. À noter que la mouvance scene (prononcer à l'anglaise, "sinn" ) est largement emmenée par d'anciens "emos" et s'adresse en général à des individus plus vieux (18 - 25 ans au lieu de 13 - 20 ans pour les précédents).

Dans une interview récente avec pastepunk.com, Dan Yemin, chanteur du groupe de hardcore Paint It Black, connu pour avoir été également le guitariste de Lifetime et figure éminente et respectée de la scène punk/hardcore, revenait sur cette nouvelle vague emo — dont certains groupes, à l'instar de Taking Back Sunday, citent Lifetime comme leur influence majeure — et la jugeait sévèrement : « I don’t know what “emo” is. “Emo” was RITES OF SPRING and EMBRACE, and everything after that is… I don’t know what it is. But it’s not eyeliner and it isn’t faux-melodrama, and it’s not like, ‘I want to be buried in your back yard.’ »

De nos jours, un style parallèle est apparu. Il semblerait que ce mouvement tire ses racines de la musique alternative, comme From Autumn To Ashes, Boys Night Out, Roses Are Red, etc., mais comporterait aussi une branche plus commerciale liée à des groupes comme My Chemical Romance, Finch, The Used, Underoath ou encore Hawthorne Heights.

Des préjugés sont nés à partir du fait que beaucoup d'emos auraient des attitudes dites "efféminées". En effet, un large nombre d'individus masculins porte, suivant la mode vestimentaire emo, des pantalons serrés (coupe féminine le plus souvent), se maquillent (eyeliner), arborent des bracelets plus ou moins colorés et plus ou moins "féminins", et des coupes ne variant pas tellement de celles de leurs homologues féminins, souvent inspirées du punk (et avec la caractéristique mèche tombant sur un œil), et teintes en plusieurs couleurs. Il faut noter que le mouvement, porté par la génération Y, une génération héritière pour la plupart des mouvements féministes des années 70 et 80, prône en général une certaine égalité des sexes, qui est d'ailleurs illustrée pas l'habillement : le look des garçons ne différencie pas beaucoup de celui des filles.

Cependant, on notera qu'une large partie du mouvement hardcore, lié à l'emo se caractérise par de la misogynie, voire même de l'homophobie. En effet, aux USA, le mouvement s'est étendu aux plus petites villes de province, et il n'est pas exceptionnel de retrouver dans ce milieu rural un certain réactionnarisme, tirant son inspiration de certains groupes de rock chrétien comme As I Lay Dying ou Norma Jean.

Beaucoup considèrent le mouvement emo actuel comme une réponse de la communauté blanche américaine au machisme du mouvement rap et de la communauté noire. On note parmi l'argot utilisé par les personnes pouvant se réclamer du mouvement emo, l'utilisation de mots avant utilisés par les noirs, qui sont repris et dénaturés souvent à but comique.

source Wikipédia

[Pav]

Si t'as le numéro de Jessica Alba, je m'inscris de suite!

[Ghost Rider]

voilà son profile sur myspace tu lui demandera toi-même, car je ne me permetterais pas de divulguer son num. sans son autorisation

http://profile.myspace.com/index.cfm?fu ... d=45838790

[Pav]

Je t'ai pas demandé son profil publicitaire, je t'ai demandé son numéro. Comprends tu

[Pav]

Un lien plaisant:

[La grenouille]

Are you Yeti

[Ghost Rider]

les Schaudi sont aussi sur myspace

http://profile.myspace.com/94025658

[Pira of RT]

oh non il sont partout