Home / VW  / 

Essai longue durée VW Polo 1.2 TSI DSG: 25’000 km

vw-polo-tsi-dsg-05

La VW Polo 1.2 TSI DSG mk5 (type 6R) sur le long terme.

C’est ce mois d’octobre 2012 que ma Volkswagen Polo 1.2 TSI DSG Highline célèbre son deuxième anniversaire. L’occasion de faire le point dans le cadre de notre essai longue durée. D’autant que cette étape correspond au premier entretien prévu par le constructeur, permettant d’en savoir un peu plus sur ce qu’il coûte de rouler dans la citadine la plus vendue en Suisse, avec plus de 17’500 exemplaires écoulés ces trois dernières années.

Cette popularité est peut-être bien le seul défaut de la Polo, en tout cas pour celle ou celui qui considère une voiture comme un moyen de se démarquer ou d’affirmer une certaine originalité. Mais l’audace n’est pas le propre des designers de Wolfsburg et le style certainement pas le premier critère de décision des clients de la marque. Les VW ont avant tout la réputation de bien faire ce pour quoi elles sont construites, et notre Polo ne déroge pas à la règle.

Car pour tout dire le seul ennui recontré depuis notre premier article quelques 15’000 kilomètres plus tôt a été la réapparition, au ralenti, de vibrations au niveau de la boîte à gants. Du type de celles qui affectaient la voiture au moment de la livraison, nécessitant à l’époque une journée d’immobilisation en concession. Cette fois encore un passage à l’atelier a suffit à régler le problème.

vw-polo-tsi-dsg-08

Et s’il faut vraiment faire un reproche à la Polo, celui-ci peut concerner l’habitabilité réduite dès lors qu’il s’agit d’installer quatre grands gabarits. Bien sûr on parle d’une citadine mais typiquement, le recul nécessaire à installer mon mètre quatre-vingt cinq au volant limite l’espace laissé aux jambes du passager arrière dont les genoux s’enfoncent dans le cuir du siège conducteur. Caser les bagages pour quatre relève également du casse-tête à moins d’être champions du “light-packing”. Dommage au vu des qualités de routière de la Polo. Et c’est ce que je regrette par rapport à mon Audi A2 que cette Polo a remplacé. D’ailleurs c’est en se souvenant de l’espace que le concept de plancher à deux niveaux offrait à l’arrière et les quelques 390 litres du coffre, contre les 280 litres pour la Polo, que l’on réalise le génie des ingénieurs d’Ingolstadt ayant conçu l’A2 pourtant quinze centimètres moins longue !

En dehors de ces considérations, la fourmi de Wolsburg approche la perfection. A l’intérieur les matériaux, s’ils ne sont pas tous valorisants à l’instar du plastique de la boîte à gants, résistent parfaitement au temps et à l’usure. Y compris le revêtement alcantara et similicuir des sièges sports proposés en option. Un peu de soin et un entretien régulier suffisent à garder l’habitacle dans un état de neuf.

vw_polo_27

Abonnez-vous !

Les derniers articles dans votre boîte email 1 à 2x par mois.