Lamborghini Murciélago LP640
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Lapin Agile
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- Messages : 3502
- Inscription : 07 août 2005 18:43
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Well... J'ai finalement eu l'occasion d'essayer la chose.
C'est la deuxième voiture la plus féroce que j'ai jamais conduite. Et je serais presque prêt à la prendre en gris militaire, tellement cela correspond à sa définition d'arme absolue sur la route.
Vous posterai quelques photos et plus de détails "bientôt", suivant mon taux d occupation le soir . Mais quelle bête !
C'est la deuxième voiture la plus féroce que j'ai jamais conduite. Et je serais presque prêt à la prendre en gris militaire, tellement cela correspond à sa définition d'arme absolue sur la route.
Vous posterai quelques photos et plus de détails "bientôt", suivant mon taux d occupation le soir . Mais quelle bête !
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Lapin Agile
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Voici quelques impressions.
J'avoue ne pas avoir été me présenter à Porrentruy avec un a priori positif sur la bête. Taille, poids, V12, autant d'éléments qui ne scorent pas forcément haut dans mon référentiel perso.
Mais il faut reconnaître que j'étais assez excité à l'idée de mettre les fesses dans ce qui constitue un représentant assez ultime de la famille des supercars... Le genre de véhicule qui faisait à peine partie de mes fantasmes de jeune conducteur il y a 15 ans, tellement la chose est en dehors de tout référentiel ordinaire.
La voiture est grise, de ce gris militaire "pas fini" que je trouve laid (promis, les photos ce soir...). Les fameuses portes en élytres que j ouvre pour la première fois de ma carrière. A l'intérieur, il y a trop d'espace : la planche de bord est encore plus vaste et plus lointaine que dans la Gallardo, et l'on pourrait caser deux fois mes jambes du côté passager.
J'ai déjà entendu le V12 s'ébrouer, et je sais déjà que ce n'est pas "un" V12, mais probablement "le" V12. Rien à voir avec ce que j'ai connu jusqu'ici.
Démarrage, dans les mains de Paulo, mon hôte local, la grosse bête fournit apparemment sans effort des performances spectaculaires. La tenue de route est phénoménale, et les vitesses de passage s'en ressentent. A la première ligne droite les fauves sont lâchés, et je dois reconnaître que l'expérience est inoubliable. La bande son traduit bien les accélérations, ponctuée par quelques jurons de votre serviteur et un ricanement incrédule.
A mon tour de prendre le volant. Paulo est accomodant, et je disposerai d'un parcours majoritairement en route de campagne, avec une passe d'autoroute pour tester le mode sport, qui rend plus ...brutal le passage des vitesses .
Première surprise, le rayon de braquage, bien moins large que la Gallardo. Mon premier demi tour se passe sans ahanements ni tirage de langue, hop, une seule manoeuvre.
Deuxième mini surprise, finalement on ne sent pas un gros delta de largeur par rapport au Taurillon. Bien sûr, je me tiens à distance respectable de l'accotement, mais il reste une bonne vingtaine de centimètres sur le côté gauche de la route pour que les voitures d'en face puissent se foutre au fossé en nous voyant arriver
.
Tertio, les gaaaaaaaaaaaaz. Well, là, je dois dire qu'il m a fallu un petit moment pour dépasser les 5 000 tours, tellement l'accélération est féroce. Puis tout à coup, sur un dépassement, ça m'a pris : pied à fond on ferme les yeux pour ne pas avoir peur, et on garde le pied dedans. Rupteur, dites ! De mémoire, à 7800 tours je crois.
Là, total respect. Un si gros moteur qui monte si haut avec autant de brio, je ne peux qu'admirer. Surtout lorsque cela est monté sur un chassis aussi habile à masquer le poids de la bête (y compris freinage).
Franchement, hormis la couleur, le vrai gros problème de cette voiture, c'est de permettre sans difficulté des vitesses qui ne collent plus avec la sécurité sur route ouverte. Pour le reste, quel charisme ! on se sent vraiment presque au sommet de l'échelle de la race automobile.
Forcément, si l'on pense à un véhicule Exclusif (TM) , on pense à celui-ci.
Ah , oui, peut être le prix doit il etre considéré... A 450 K+ pour un bon niveau d equipements, il y a de quoi tousser un peu. Le prix de l'arme absolue ?
(la première ? La donk machintruc, 270 cv et 720 kilos... La TPierreT arrive pas loin derriere la LP640. Je n'ai pas conduit la Clial, mais de toute façon elle est hors concours...).
J'avoue ne pas avoir été me présenter à Porrentruy avec un a priori positif sur la bête. Taille, poids, V12, autant d'éléments qui ne scorent pas forcément haut dans mon référentiel perso.
Mais il faut reconnaître que j'étais assez excité à l'idée de mettre les fesses dans ce qui constitue un représentant assez ultime de la famille des supercars... Le genre de véhicule qui faisait à peine partie de mes fantasmes de jeune conducteur il y a 15 ans, tellement la chose est en dehors de tout référentiel ordinaire.
La voiture est grise, de ce gris militaire "pas fini" que je trouve laid (promis, les photos ce soir...). Les fameuses portes en élytres que j ouvre pour la première fois de ma carrière. A l'intérieur, il y a trop d'espace : la planche de bord est encore plus vaste et plus lointaine que dans la Gallardo, et l'on pourrait caser deux fois mes jambes du côté passager.
J'ai déjà entendu le V12 s'ébrouer, et je sais déjà que ce n'est pas "un" V12, mais probablement "le" V12. Rien à voir avec ce que j'ai connu jusqu'ici.
Démarrage, dans les mains de Paulo, mon hôte local, la grosse bête fournit apparemment sans effort des performances spectaculaires. La tenue de route est phénoménale, et les vitesses de passage s'en ressentent. A la première ligne droite les fauves sont lâchés, et je dois reconnaître que l'expérience est inoubliable. La bande son traduit bien les accélérations, ponctuée par quelques jurons de votre serviteur et un ricanement incrédule.
A mon tour de prendre le volant. Paulo est accomodant, et je disposerai d'un parcours majoritairement en route de campagne, avec une passe d'autoroute pour tester le mode sport, qui rend plus ...brutal le passage des vitesses .
Première surprise, le rayon de braquage, bien moins large que la Gallardo. Mon premier demi tour se passe sans ahanements ni tirage de langue, hop, une seule manoeuvre.
Deuxième mini surprise, finalement on ne sent pas un gros delta de largeur par rapport au Taurillon. Bien sûr, je me tiens à distance respectable de l'accotement, mais il reste une bonne vingtaine de centimètres sur le côté gauche de la route pour que les voitures d'en face puissent se foutre au fossé en nous voyant arriver
.Tertio, les gaaaaaaaaaaaaz. Well, là, je dois dire qu'il m a fallu un petit moment pour dépasser les 5 000 tours, tellement l'accélération est féroce. Puis tout à coup, sur un dépassement, ça m'a pris : pied à fond on ferme les yeux pour ne pas avoir peur, et on garde le pied dedans. Rupteur, dites ! De mémoire, à 7800 tours je crois.
Là, total respect. Un si gros moteur qui monte si haut avec autant de brio, je ne peux qu'admirer. Surtout lorsque cela est monté sur un chassis aussi habile à masquer le poids de la bête (y compris freinage).
Franchement, hormis la couleur, le vrai gros problème de cette voiture, c'est de permettre sans difficulté des vitesses qui ne collent plus avec la sécurité sur route ouverte. Pour le reste, quel charisme ! on se sent vraiment presque au sommet de l'échelle de la race automobile.
Forcément, si l'on pense à un véhicule Exclusif (TM) , on pense à celui-ci.
Ah , oui, peut être le prix doit il etre considéré... A 450 K+ pour un bon niveau d equipements, il y a de quoi tousser un peu. Le prix de l'arme absolue ?
(la première ? La donk machintruc, 270 cv et 720 kilos... La TPierreT arrive pas loin derriere la LP640. Je n'ai pas conduit la Clial, mais de toute façon elle est hors concours...).
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