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Euphémisme du jour

Publié : 07 juil. 2022 14:17
par ze_shark

Tout fout le camp

Publié : 30 août 2022 14:36
par ze_shark
Le/la futur(e) Premier Ministre et son cabinet se baladera en Audi.

https://www.thesun.co.uk/news/19649682/ ... rman-audi/

Re: EUR = CHF & Brexit

Publié : 31 août 2022 20:04
par christo918
Même pas une Ranger Rover à empattement long avec blindage (ouhhh ca doit faire lourd) ?

Truss à donf

Publié : 26 sept. 2022 07:54
par ze_shark
Remarquable, elle démarre très fort.

Image

Re: EUR = CHF & Brexit

Publié : 26 sept. 2022 08:03
par rbk
1$ = 1€ = 1£ = CHF c'est plus simple :?

Re: EUR = CHF & Brexit

Publié : 27 sept. 2022 10:41
par Nagata-San
Une aubaine: on comprend vers quoi on risque de se diriger: une monnaie numérique "mondiale" plus vite qu'on ne l'eut crû.

https://www.ecb.europa.eu/paym/digital_ ... ex.fr.html
https://www.investopedia.com/inside-the ... ts-6674517

Trussidée

Publié : 20 oct. 2022 13:42
par ze_shark
Elle aura tenu 45 jours. Quand on croyait qu'on touchait le fond avec Johnson ...

https://news.sky.com/story/liz-truss-re ... r-12593360

Issue prévisible quand la base idéologique décide.

Re: EUR = CHF & Brexit

Publié : 20 oct. 2022 16:32
par vravolta
Oui, c'est moche pour les anglais et ca questionne sur l'organisation d'une institution qui permet d'en arriver là. Et en plus on nous dit que Charles est au bout du rouleau et qu'il a été demandé à William de se tenir prêt au cas où... Tout ca dans la lignée du brexit, ca fait quelques années que le Royaume-uni vit une descente aux enfers qui ne semble jamais toucher le fond...

Re: EUR = CHF & Brexit

Publié : 29 avr. 2023 16:38
par Avgas
Je suis en train de lire "Inside the deal" ecrit par Stefaan de Rynck, un des negociateurs de l'equipe Barnier.
D'un cote les annonces et la com Britonne qui promettait monts et merveilles a sa populasse et esperait garder tous les bons aspects de membre (le beurre, l'argent du beurre, la cremiere et la cerise sur le gateau), voulant quelque chose de mieux que la Norvege ou la Suisse face a une UE unie qui n'a rien lache: l'Union a 4 libertes fondamentales et c'est un menu complet, pas a la carte.
Les consequences se font sentir tous les jours avec les tracasseries aux frontieres, un Eurostar qui circule "plein" avec uniquement 66% des places vendues car il n'y a pas assez de place physique et d'agents pour les controles aux frontieres, des Britons qui se voient refuser leur embarquement car leur passeport a moins de 3 ou 6 mois de validite et bientot il va falloir un visa (similaire au visa US) valable 2/3 ans mais, et grand mais, le premier UE devra faire l'objet d'un rendez-vous physique.
En Espagne quasi tous les Britons qui vivaient en bossant au noir sans etre enregistres avec les voitures en plaque anglaise ont disparu.

Re: EUR = CHF & Brexit

Publié : 20 juin 2023 10:04
par Yvan
Je rentre d'un séjour à Londres, le parc auto dans la capitale (en plaques locales) est plutôt bien fourni ! Audi RS et BMW M ne se comptent même pas, la proportion doit être identique à la Suisse.

Dans le plus couillu et en vrac, des McLaren, des Porsche, un Urus bleu, une Rolls rouge, une blanche et or (plaques arabe), toutes sortes de Mercedes haut de gamme et une Porsche (?) couleur Gulf dont je n'ai pas reconnu le modèle de loin. Mais elle roulait avec une sorte de toit-porte ouvert vers le haut sur des vérins, particuliers. (si quelqu'un à l'info..)

Etonnamment, je n'ai compté que 3 (!) trots électrique. Enormément de vélos, mais trots inexistantes. Ce n'est pas encore le fléau de chez nous

Re: EUR = CHF & Brexit

Publié : 18 oct. 2023 16:22
par Corsugone
L'automobile britannique veut revenir sur l'accord du Brexit

Les Echos.fr

Les constructeurs anglais pressent pour un report des droits de douane sur les véhicules électriques. Sans quoi les modèles issus des usines anglaises seront 3.600 livres plus chers pour les consommateurs européens, estime la fédération SMMT.

Après l'alerte lancée par les constructeurs sur le continent, c'est au tour de l'industrie automobile britannique de s'insurger contre les règles douanières post-Brexit qui devront s'appliquer à partir de janvier 2024.

Si les consommateurs britanniques risquent de payer plus cher leur voiture électrique assemblée dans l'UE, il en sera de même pour les acheteurs européens d'une voiture fabriquée de l'autre côté de la Manche, a alerté la SMMT (Society of Motor Manufacturers and Traders), le lobby automobile britannique, à l'occasion de sa conférence mercredi sur le commerce extérieur.

Véhicules plus chers

Selon les calculs de la fédération, une voiture électrique fabriquée dans l'UE coûtera 3.400 livres de plus lorsqu'elle sera vendue en Grande-Bretagne. En sens inverse, les modèles issus des usines anglaises seront 3.600 livres plus chers pour les consommateurs européens.

« Les véhicules que nous assemblons au Royaume-Uni sont légèrement plus chers, d'où cette différence », explique Mike Hawes, directeur général de la SMMT.

Les flux commerciaux liés à la voiture électrique entre l'UE et le Royaume-Uni sont en train d'exploser, du fait de l'expansion rapide de cette technologie. Ils sont passés de 7,4 milliards de livres à 15,3 milliards entre 2020 et 2022, estime le SMMT.

Et les besoins ne vont cesser de s'accroître : au 1er janvier 2024, le Royaume-Uni va adopter son propre mécanisme de plafonnement des émissions de CO2, lequel obligera les constructeurs à vendre 22 % au moins de motorisations électriques pour éviter les sanctions financières.

« Si nous pénalisons une technologie en expansion, les acheteurs vont soit rester sur une motorisation thermique, soit s'orienter vers une marque non-européenne », avance Mike Hawes.

Sursis jusqu'en janvier 2024

En cause : les conditions de l'accord commercial post-Brexit, selon lesquelles une voiture fabriquée en Europe devra comporter au moins 45 % (en valeur) de pièces issues de l'Union, sans quoi elle sera frappée de 10 % de droits de douane en traversant la Manche. La même exigence s'impose aux modèles assemblés au Royaume-Uni et vendus sur le continent.

Pour les véhicules électriques, ce seuil ne peut être atteint que si la batterie provient d'Europe. Lors des négociations sur le Brexit, les industriels ont obtenu un sursis de trois ans, jusqu'en janvier 2024, pour les véhicules électriques - le temps que se constitue une industrie de batteries.

Or, les investissements ont pris du retard. En juillet, Tata a confirmé son intention de construire une « gigafactory » dans le Somerset pour équiper notamment les modèles Jaguar et Land Rover. Au grand soulagement des pouvoirs publics et de l'industrie auto britannique. Mais il en faudra d'autres.

Report envisagé

Pour l'heure, le commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, a écarté toute révision des règles. « Ce qui a été négocié, a été négocié et je pense qu'il est important de s'en tenir à l'accord quand il a été si difficile à obtenir », a-t-il déclaré. Mais les lignes pourraient bouger.

Selon l'agence Bloomberg, l'UE a récemment approché le gouvernement de Rishi Sunak pour proposer un report de deux ans de l'échéance de janvier 2024. « La majorité des Etats membres souhaitent ce report car ce serait dans l'intérêt de leur industrie automobile », avance Mike Hawes.

Si l'accord commercial de décembre 2020 a largement protégé l'automobile britannique des effets de la sortie de l'Union Européenne, Mike Hawes estime que tous ses bénéfices n'ont pas été exploités. « Par exemple, il était question de créer un groupe de travail sur la réglementation, mais il ne s'est jamais réuni », regrette-t-il. Quant à la révision de l'accord commercial, prévue pour 2026, il estime que c'est une perspective encore lointaine.