Shelby GT
Publié : 05 mars 2008 09:31
Ford Mustang Shelby GT : Sensations garanties
Les amateurs du genre connaissent déjà la Shelby GT500 et ses 475 ch. Dorénavant, il y aura également la Shelby GT... tout court.
Certes, cette nouvelle déclinaison de la fameuse Ford Mustang n’est pas la plus puissante (319 ch seulement), mais c’est sans doute la plus excitante.
Grâce à son V8 4.6 l, "naturellement aspiré" comme disent les Américains - autrement dit sans suralimentation -, la sonorité est tout bonnement fabuleuse. Au ralenti, ce V8 râle comme un vieux tigre, à en faire frissonner n’importe quel pilote amateur ou apprenti dompteur.
Dès que l’on pose ne serait-ce qu’un orteil sur la pédale de droite, c’est... la loi de la jungle ! Ne s’en sortent que les plus forts. Et franchement, pour maîtriser cette Mustang GT, mieux vaut avoir fait contre-braquage en cours du soir, et avoir des cervicales de jeune homme... pour regarder la route par la vitre latérale sans risquer le torticolis. Même avec l’antipatinage connecté, ça glisse franchement.
Et si vous avez la bonne idée de tout débrancher, ça ne glisse plus... ça savonne.
Une fois à gauche, une fois à droite, la bien-nommée Mustang rue comme un cheval. Et le tout en chanson.
Pour les plus terre-à-terre, ajoutons que cette sportive, vendue moins de 25 000 euros
aux Etats-Unis, possède quatre vraies places, un grand coffre avec dossiers arrière rabattables, de mauvais freins et une suspension - comment dire... - sautillante.
Qu’importe, les sensations sont là. Et franchement, quand on voit que l’on ne peut plus exploiter la moindre sportive de 200 ch avec ESP sans risque pour son permis de conduire, on peut se demander si l’avenir du plaisir automobile n’est pas ce genre de monture.
Caractérielle, pas très efficace, mais diablement jouissive !
Les amateurs du genre connaissent déjà la Shelby GT500 et ses 475 ch. Dorénavant, il y aura également la Shelby GT... tout court.
Certes, cette nouvelle déclinaison de la fameuse Ford Mustang n’est pas la plus puissante (319 ch seulement), mais c’est sans doute la plus excitante.
Grâce à son V8 4.6 l, "naturellement aspiré" comme disent les Américains - autrement dit sans suralimentation -, la sonorité est tout bonnement fabuleuse. Au ralenti, ce V8 râle comme un vieux tigre, à en faire frissonner n’importe quel pilote amateur ou apprenti dompteur.
Dès que l’on pose ne serait-ce qu’un orteil sur la pédale de droite, c’est... la loi de la jungle ! Ne s’en sortent que les plus forts. Et franchement, pour maîtriser cette Mustang GT, mieux vaut avoir fait contre-braquage en cours du soir, et avoir des cervicales de jeune homme... pour regarder la route par la vitre latérale sans risquer le torticolis. Même avec l’antipatinage connecté, ça glisse franchement.
Et si vous avez la bonne idée de tout débrancher, ça ne glisse plus... ça savonne.
Une fois à gauche, une fois à droite, la bien-nommée Mustang rue comme un cheval. Et le tout en chanson. Pour les plus terre-à-terre, ajoutons que cette sportive, vendue moins de 25 000 euros
aux Etats-Unis, possède quatre vraies places, un grand coffre avec dossiers arrière rabattables, de mauvais freins et une suspension - comment dire... - sautillante. Qu’importe, les sensations sont là. Et franchement, quand on voit que l’on ne peut plus exploiter la moindre sportive de 200 ch avec ESP sans risque pour son permis de conduire, on peut se demander si l’avenir du plaisir automobile n’est pas ce genre de monture.
Caractérielle, pas très efficace, mais diablement jouissive !
