Cela me rappelle une simulation de la route des départs en vacances en juillet en France sous l’hypothèse d’un parc auto entièrement remplacé par de l’EV : très gros problème !
Cela me rappelle une simulation de la route des départs en vacances en juillet en France sous l’hypothèse d’un parc auto entièrement remplacé par de l’EV : très gros problème !
L'erreur de cette simulation, c'est d'imaginer que les BEV vont remplacer un pour un l'usage des ICE = je vends mon ICE, j'achète une BEV puis, toukomavan. En vrai, il va y avoir des pertes à la conversion car il ne sera simplement pas possible d'équiper des tours d'habitation d'une puissance de recharge adaptée à la recharge de l'entier de son parking durant la nuit par exemple. Le prix des BEV a peu de chances de devenir un jour aussi abordable que ce que certaines ICE ont pu l'être. Donc on s'oriente vers tout simplement moins de trajets en voiture par habitant, d'une manière ou d'une autre.
Cela me rappelle une simulation de la route des départs en vacances en juillet en France sous l’hypothèse d’un parc auto entièrement remplacé par de l’EV : très gros problème !
L'erreur de cette simulation, c'est d'imaginer que les BEV vont remplacer un pour un l'usage des ICE = je vends mon ICE, j'achète une BEV puis, toukomavan.
C’est pourtant bien l’objectif initial de l’affaire et c’est précisément pour cela que l’on risque de bien rigoler (jaune…). Ce serait intéressant de calculer la capacité maximum : à partir de quel taux de remplacement ça coince avec une hypothèse de subventions et autres ressources, hors production électrique, infinis.
Cela me rappelle une simulation de la route des départs en vacances en juillet en France sous l’hypothèse d’un parc auto entièrement remplacé par de l’EV : très gros problème !
L'erreur de cette simulation, c'est d'imaginer que les BEV vont remplacer un pour un l'usage des ICE = je vends mon ICE, j'achète une BEV puis, toukomavan.
C’est pourtant bien l’objectif initial de l’affaire et c’est précisément pour cela que l’on risque de bien rigoler (jaune…). Ce serait intéressant de calculer la capacité maximum : à partir de quel taux de remplacement ça coince avec une hypothèse de subventions et autres ressources, hors production électrique, infinis.
C'est effectivement ce qu'on cherche à faire croire au citoyen - et donc électeur - qui n'est pas encore prêt à entendre qu'il devra se serrer la ceinture en matière de mobilité. Mais depuis le début, on sait qu'on a un souci de scaling, très bien expliqué par Janco il y a quelques années du reste = on fait l'erreur d'appliquer des logiques linéaires à des problèmes qui ne le sont pas, l'erreur de raisonner sur des moyennes quand le souci est sur le max: on se fiche d'avoir une production éolienne qui couvre en moyenne la production annuelle du pays. Le problème est ailleurs = les jours où il n'y a pas assez de vent pour couvrir la conso du moment. Et c'est pour cette raison qu'il est en faveur du nucléaire et qu'il soulève à juste titre qu'un kWh intermittent, c'est pas pareil qu'un kWh régulier et donc qu'on passe notre vie à additionner des pommes avec des poires.
Du coup, est ce que le vrai objectif est d'arriver vraiment à du un pour un ou plutot de laisser du temps au citoyen de faire son deuil? J'opte pour la 2e option, la première étant incompatible avec la réalité. Après, est ce que les politiciens ont conscience de ca? Je dirais que oui, cf. le nombre de fois où Janco est allé expliquer ca aux sénateurs français qui ont eux même bien du en parler avec leurs homologues étrangers.
Réseau ouvert
Publié : 08 déc. 2023 13:05
par ze_shark
Singapour impose désormais que tous les chargeurs doivent offrir un moyen de paiement direct par carte de crédit ou QR code sans app.
Une excellente recette pour lutter contre la jungle d'apps en tous genres. Et ça semble rétroactif depuis Juin 2024 à tous les chargeurs existants.
La Suisse et l'UE devraient s'en inspirer et mettre fin au boxon actuel.
C'est incroyable que l'on ait laissé s'installer ce bordel ici.
Ce serait pour moi la condition impérative pour passer à l'électrique
Re: Le futur proche des électriques et hybrides
Publié : 16 déc. 2023 11:47
par Corsugone
Re: Le futur proche des électriques et hybrides
Publié : 16 déc. 2023 12:40
par boboracingteam
Pas pu écouter plus de 20 secondes, le type m’agace direct.
Re: Le futur proche des électriques et hybrides
Publié : 16 déc. 2023 13:54
par Corsugone
Berlingo thermiques : Citroën rétropédale sur le 100% électrique
Début 2022, la firme arrêtait brutalement les versions à essence et diesel de son fameux ludospace. Avec un effondrement des ventes à la clé. En cette fin 2023, voilà que réapparaissent des versions non électriques sur le site français du constructeur.
Stellantis fait machine arrière ! Le site de Citroën en France affiche en effet sur son configurateur client un Berlingo...non électrique « bientôt disponible ». Le 11 décembre dernier, le communiqué de presse annonçant un profond restylage de ce Berlingo électrique affirmait pourtant péremptoirement : « En Europe, seule la version électrique de Berlingo est disponible. » Le célèbre ludospace devrait « revenir en version thermique dans les catalogues de certains pays d'Europe l'an prochain », explique-t-on désormais prudemment au sein de la firme aux chevrons. Etrange.
Citroën semble d'ailleurs gêné de cette volte-face et demeure laconique sur le sujet. Tout juste le constructeur se borne-t-il à prédire « des petits volumes » pour les prochaines versions thermiques, alors que les déclinaisons à essence et diesel...représentaient la très grosse majorité des ventes avant leur arrêt il y a près de deux ans. Seul Citroën semble d'ailleurs faire ce pas au sein de Stellantis. L'équivalent du Berlingo chez Peugeot, le Rifter, reste jusqu'à nouvel ordre fidèle à la seule motorisation électrique. Tout comme l'Opel Combo Life.
Un arrêt brutal Début 2022, le groupe franco-italo-américain avait subitement décidé de ne plus commercialiser que la version zéro émission ë-Berlingo. Et tant pis pour les clients sans gros moyens qui appréciaient tant la modularité, la capacité d'emport exceptionnelle et la rusticité de ces modèles à vocation mixte et passe-partout. Corvéables à merci et utilisables pour un usage professionnel mais aussi les loisirs en famille, ces véhicules circulent souvent chargés et sur de longs trajets. Contre-nature pour un modèle électrique.Lire aussiAutonomie, charge rapide ... Que valent les voitures électriques sur autoroute ? Après cette décision, les ventes s'étaient immédiatement effondrées, de 70 % pour le Berlingo (dans les huit mois suivant l'arrêt), mais aussi de 65 % pour le Rifter. Paradoxalement, seul Toyota, qui achète des véhicules à Stellantis pour les commercialiser sous le nom de Pro Ace City Verso dans son réseau, a gardé les versions thermiques. C'est aussi le cas pour l'éternel rival, le Renault Kangoo, qui réalise encore 5 500 immatriculations (sur onze mois 2023) en France, alors que les modèles de Stellantis sont sortis du Top-100 des véhicules les plus vendus dans l'Hexagone.Bonus-malus : le jeu du différentiel de prix Stellantis avait argué en 2022 de la hausse des malus pour justifier sa décision.
Effectivement, le Renault Kangoo, haut et relativement lourd, est frappé par ce lourd impôt sur les émissions de CO2. En diesel de base, il subit un malus de 330 euros, qui...doublera au 1er janvier 2024. La version à essence est, elle, passible de 2 049 euros de malus (et même 3 119 au 1er janvier). Le système de bonus-malus ne comble toutefois pas le différentiel de prix entre les thermiques et les électriques. Lors de l'arrêt des versions thermiques des modèles Stellantis en 2022, il y avait un écart substantiel entre le Citroën Berlingo diesel (25 000 euros avec le malus de l'époque) et la version électrique (un peu plus de 30 000, bonus déduit). Début 2024, même malus alourdi, un Renault Kangoo diesel coûtera 28 250 euros (malus compris), alors que son homologue électrique s'affichera à 32 500. Et, ce, en déduisant le super-bonus gouvernemental de 5 000 euros.Entre ces différences de prix et la plus grande praticité des versions thermiques, Citroën a donc fait son choix. De quoi remettre sur le devant de la scène le ludospace, une grande spécialité historique de l'industrie auto française. Cela tombe bien : ces voitures pratiques, polyvalentes et populaires dérivées d'utilitaires avaient été justement créées par Citroën, avec le Berlingo en 1996, relayé ensuite par le Renault Kangoo en 1997.
La fin des primes
Publié : 17 déc. 2023 08:24
par ze_shark
L'Allemagne déclare abruptement la fin des primes à l'achat d'électriques, avec effet immédiat.
Le plan était de les baisser de moitié en 2024 avant annullation pour 2025, on passe à zéro illico. L'Allemagne aura dépensé 10 milliards d'euros depuis 2016 pour subventionner l'achat de 2.1 millions de voitures.
En France, le score environnemental élimine de la liste des modèles éligibles tout ce qui est fabriqué en Chine, en plus de tout ce qui dépasse 47kEUR ou 2.4 tonnes.