Alors je remonte ce sujet (12 ans tout de même): Je viens d'acheter une Citroën DS 23 injection electronique pallas avec boite hydraulique. Elle provient de France (vive l'EUR à 0.98), présente très bien, même si quelques détails seront à reprendre pour qu'elle soit parfaite. Elle est notoirement partante toutes distances vu qu'elle vient de parcourir 620 bornes en pleine canicule au volant de son ancien propriétaire.
Reste à faire les formalités d'import et de réimmatriculation en Suisse.
Elle a une petite particularité: équipée de portes drapeaux et d'une cocarde, en référence à un passé de voiture de préfet. La carrosserie et l'intérieur sont très très propres du fait d'une restauration totale au début des années 2000.
A rouler, je trouve plus cohérent que la SM dont le moteur pointu Maserati et la boite manuelle sont en désaccord complet avec la conduite coulée dictée par la suspension hydropneumatique et le frein champignon. Là, la finition pallas avec les moquettes de plus de 5cms d'épais, le cuir font de l'auto un vrai salon roulant. Le moteur est hyper coupleux, fonctionne avec régularité grace à l'injection électronique. Donc une ancienne pour enrouler sur le couple, mais sans le défaut chronique des DS à savoir une sous motorisation criante.
Elle est notoirement partante toutes distances vu qu'elle vient de parcourir 620 bornes en pleine canicule au volant de son ancien propriétaire.
Tu as pris trop de soleil pendant les vacances !
Re: Citroën DS
Publié : 24 juil. 2022 20:03
par Tom63
Très belle acquisition!
Bravo!
Re: Citroën DS
Publié : 24 juil. 2022 23:40
par Gringo
Bravo belle acquisition!
Les 23 injections s’arrêtaient sous les lignes à haute tension avant que le boîtier d’injection soit „blindé“ en cage de Faraday.
Bravo belle acquisition!
Les 23 injections s’arrêtaient sous les lignes à haute tension avant que le boîtier d’injection soit „blindé“ en cage de Faraday.
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Celle ci a du d'une manière ou d'une autre voir ce défaut corrigé car elle a géré le trajet Perpignan Genève sans s'arrêter et donc en passant à proximité de lignes haute tension, sans parler de sa vie depuis 1972