Elise A111, 10ans déjà !
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Correcteur orthographique
Pas de correcteur orthographique sur le iTouch ? 
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Voilà, pour notre maître Capello ...en plus il est en anglais ce iTouch, alors pas d'accent ni autre françaiserieyour momo a écrit :Hello juste quelques mots pour vous annoncer un petit reportage sur la Route des Grandes Alpes parcourue le w-e passé.
...et aussi quelques mots sur les nouvelles chaussettes de l'Elise
Mais je vais faire tout ça depuis un PC ...là j'écris depuis un iTouch, c'est galère
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Après un hiver rigoureux qui ne m'a pas souvent vu en Elise et un grand service de printemps, au cours duquel les 8 rotules des porte-moyeux on été remplacées. Je suis partis en force dans la saison des sorties 2009:
Dernier w-e de Mai, les trois jours du LGT2009, 13 Elise/Exige et 900km. Un parcours sur des routes taillées pour l'Elise avec entre autre la découverte du Mt-Ventoux …sous une pluie battante et malgré tout une nuée de cyclistes
C'est sûr, là je reviendrai …mais à 5h du mat au plus tard
Puis le w-e passé, quatre jours pour faire la Route des Grandes Alpes aller-retour, également une découverte. Un petit groupe de 5 Elise/Exige, un belle équipée, sur des routes absolument fantastiques avec une météo très clémente, seul le premier jour à été arrosé.
La Route des Grandes Alpes 2009 …le récit:
Le départ s'est fait dans la bruine des hauts de Monthey, passage du Pas de Morgins puis descente dans le Val d'Abondance sous une pluie également abondante. Puis on bifurque à gauche pour le col du Corbier (très sympa en Elise), qui nous permet de raccorder sur la Route des Grandes Alpes. Là on roule au rythme des pendulaires jusqu'à Cluses puis montée du Col de la Colombière suivit du Col des Aravis et du Col des Saisies. La jonction avec l'équipe partie de Genève s'opère en bas des Saisies pour un premier arrêt.
De-là c'est du tout neuf pour moi, nous partons donc sur les pentes du Cormet de Roselande, superbe paysage avec le petit lac …mais vu le parcours restant on ne traine pas. Descente sur Bourg-St-Maurice et montée sur Val-d'Isère avec un arrêt pique-nique au bord du lac du Chevril face à Tignes 2000.
On quitte Val-d'Isère pour le sommet de notre route, le Col de l'Iseran. La montée offre une vue plongeante sur toute la vallée que nous quittons. Le sommet avec sa chapelle et son panneau mainte fois vus en photos sont là devant mes yeux mais le plus beau reste la vue vers le sud, que de montagnes …que de cols restants.
La descente superbe puis la liaison sur Modane s'effectue sans encombre. Mes amis profitent de me faire visiter la Maison penchées …ça dégourdis les jambes et remet les idées d'aplomb. Tout juste ce qu'il faut pour attaquer la montée du Col du Télégraphe, petite descente sur Valloire et montée sur le Col du Galibier qui fait tant souffrir les cycliste du Tour. Bon vu la météo bougonne point de cycliste, les quelques deux roues présents montent sur la retenue vu l'adhérence précaire. La vue du col sous un ciel sombre est spectaculaire, la descente sur le sommet du Col du Lautaret se fait sur des œufs. Petite pause café, puis descente sur Briançon sur une route très roulante sans grand intérêt …si ce n'est de passer à côté de la piste du Trophée Andros, on dirait un parking de superette, faudrait revoir ça avec de la neige.
La montée sur le Col de l'Izoard se fait bon train, y'a pas beaucoup de monde, les paysage sont splendides, les couleurs saturées donnent un côté surréaliste. J'adore…
La descente sans encombre nous amène à Guillestre pour la dernière friandise du jour, le Col de Vars, belle route bien large, pas un chat en vue …une belle bourre pour clôturer cette première journée. Dodo à Vars (Ste-Marie), l'hôtel Alpage offre un accueil de premier choix, en plus la bière y est excellente …et bien méritée.
Après une nuit de repos, départ pour le reste du Col de Vars qui vaut surtout pour sa descente sur St-Paul. Puis on met la flèche à gauche avant Jausier pour la montée du Col de la Bonette. Que dire du spectacle si ce n'est que c'est à couper le souffle, absolument grandiose …en plus y'a pas foufoule alors on se défoule, quelle vue.
La descente s'opère bon train, la route se fait plus étroite parfois, il faut être vigilant.
La montée puis le Col St-Martin nous amène dans les Gorges de la Vésubie, nous profitions pour y faire un arrêt pique-nique. Puis c'est le Turini …oui celui du MonteCarl, et d'autre épreuves automobile locales comme en témoigne les innombrables traces de pneus qui lardent l'asphalte. Une pensée tout de même pour celui qui à fait deux belles traces noires droit dans la falaise dans les premiers lacets
Notre élan est toutefois brisé net dans les 3 derniers km de la montée, un tapis de gravillons tout frais posé attend que le temps fasse son œuvre. C'est sûrement le moyen le plus efficace pour faire baisser la vitesse sur les routes, même en Elise on se croirait dans une barque au-delà de 40km/h …efficace je vous dis.
Arrivé en haut, nous avons la surprise de la route barrée donc pas de descente sur Sospel, pas de Col de Castillon et pas de Menton. Qu'à cela ne tienne, il reste la descente sur Lucéram par la D2566, avec ses épingles en escalier et aucune circulation, c'est l'occasion de tester la tension du câble du frein à main.
Arrivé aux abords de Nice, je quitte le groupe pour récupérer Madame à Antibes. Le retour dans la civilisation est rude, le trafic est omniprésent et les 25min de queue en plein soleil pour payer €1.40 au péage de l'A8 me mettent les nerfs à rude épreuve. Franchement ces péages barrières, même en Italie y'en a plus, bloquer la circulation pour encaisser des sommes ridicules, c'est de la préhistoire routière.
Heureusement, tout fini bien puisque je trouve une place pour garer l'Elise en bord de mer dans la ligne droite entre Cagnes et Antibes …et je pique une tête dans la grande bleu
Nous rejoignons le reste du groupe pour passer la nuit dans les hauts de Cannes à Mouans-Sartoux. Nous apprécions d'être choyé à l'hôtel Louisiane, l'accueil, le repas et le service y sont excellents …ce qui est loin d'être commun sur la Côte d'Azur
Le troisième jour démarre dans la torpeur du dimanche matin, y fait déjà 27°C faut dire qu'on est plus ou moins à zéro mètre, ce qui change des matins frais en montagne.
Nous partons sur la Route Napoléon par Grasse vers Castellane, peu de trafic, belle routes et paysages. De Castellane nous obliquons vers le Lac de Castillon pour un premier arrêt. Le spectacle du paysage se reflétant dans les eaux calmes de ce lac est merveilleux.
De là nous remontons par le Col de Toutes Aures pour arriver aux Gorges de Daluis, la roche rouge et la route qui hésite entre tunnel et évitement et digne du pitch des meilleurs jeux vidéo, hallucinant …faut juste pas tomber sur un anglais distrait parce que no way, ça ne croisera pas. En visuel, c'est digne de Zion aux US, mais beaucoup plus serré, just great en Elise.
Après le repas pris à Guillaumes, la ville pas un copain, nous attaquons le Col de Tapecul …heu non je veux dire Cayolle. Celui-là ils ne l'ont pas fait depuis 1973 au Tour de France …et ça se voit, enfin ça se sent surtout.
Arrêt essence, he oui il faut en mettre parfois, et glace à Barcelonnette avant de repartir pour le Col de Vars. Descente à bonne allure sur Guillestre …je suis tellement content que je loupe la route pour l'Izoard, je me rends compte de ma bévue qu'après St-Crépin. Un "t" au lieu du "p" me semble approprié ici, je continue toutefois sur Briançon puis la montée du Col du Lautaret. Un arrêt pour attendre mes amis qui ne se sont pas trompé de route me permet d'acquérir contre la modique somme de € 6.- la carte de la Route des Grandes Alpes. Ma passagère munie de ce précieux sésame, plus aucun désagrément ne nous a contrariés. Tant la montée du Galibier que la descente sur Valloire se sont faites bon train sur des routes dégagées. Arrivée à Valloire et dodo à l'hôtel Le Tatami, je ne peux malheureusement pas recommander cet établissement, il souffre en comparaison des deux lieux d'hébergement précédents.
Le dernier jour deux Elise nous quittent pour rentrer direct sur Genève …par l'autoroute quelle idée, non mais.
Nous parcourons toutefois ensemble le Col du Télégraphe puis direction Modane et la montée du Cold de l'Iseran sous un soleil radieux. Au sommet nous rencontrons une cousine, Speedster Turbo, emmenée voire la mer par son gentil propriétaire.
La descente sur Val-d'Isère est vertigineuse, là faut vraiment pas se louper, mais quel spectacle. Une pause dîner sur la terrasse du Monal à St-Foy Tarentaise nous permet de préparer la suite de l'itinéraire qui passe par l'Italie avant le retour en Suisse.
A Séez nous obliquons à droit pour la monter du Col du Petit St-Bernard, route sublime pas un chat, il faut dire que c'est l'heure de la sieste. La descente sur le versant italien est plus tourmentée, toutefois superbe. Arrivé à La Thuile, ça ne s'invente pas, la route pour le Val d'Aoste est barrée jusqu'à 16h. Heureusement un itinéraire de secours existe par le Col San Carlo qui monte à 1'900m, c'est une découverte, 12 km de virages …que du bonheur. Bon parfois ce n'est pas super large mais vu la taille de la route sur la carte je m'attendais à pire. Arrivé dans le Val d'Aoste une chaleur infernale nous enveloppe, vivement qu'on tourne à gauche…
La montée du Col du Grand St-Bernard est un classique de retour de vacances jusqu'à l'embranchement pour le tunnel pour moi. C'est large et presque ennuyeux, la route du col par contre si on oublie les 5 premiers km, minés par les travaux, est une merveille. Arrivé en haut, ce sont les souvenirs de 30 ans qui remontent, les pique-niques avec les parents. Je n'étais jamais remonté là depuis…
La descente sur le versant suisse est belle aussi et elle nous ramène à la maison.
En résumé, quatre jours 1'525km et 27 passages de cols, des paysages fantastique et une auto qui marche de mieux en mieux, le bonheur quoi.
Voici encore quelques clichés qui illustrent ce périple:
Dernier w-e de Mai, les trois jours du LGT2009, 13 Elise/Exige et 900km. Un parcours sur des routes taillées pour l'Elise avec entre autre la découverte du Mt-Ventoux …sous une pluie battante et malgré tout une nuée de cyclistes
C'est sûr, là je reviendrai …mais à 5h du mat au plus tard
Puis le w-e passé, quatre jours pour faire la Route des Grandes Alpes aller-retour, également une découverte. Un petit groupe de 5 Elise/Exige, un belle équipée, sur des routes absolument fantastiques avec une météo très clémente, seul le premier jour à été arrosé.
La Route des Grandes Alpes 2009 …le récit:
Le départ s'est fait dans la bruine des hauts de Monthey, passage du Pas de Morgins puis descente dans le Val d'Abondance sous une pluie également abondante. Puis on bifurque à gauche pour le col du Corbier (très sympa en Elise), qui nous permet de raccorder sur la Route des Grandes Alpes. Là on roule au rythme des pendulaires jusqu'à Cluses puis montée du Col de la Colombière suivit du Col des Aravis et du Col des Saisies. La jonction avec l'équipe partie de Genève s'opère en bas des Saisies pour un premier arrêt.
De-là c'est du tout neuf pour moi, nous partons donc sur les pentes du Cormet de Roselande, superbe paysage avec le petit lac …mais vu le parcours restant on ne traine pas. Descente sur Bourg-St-Maurice et montée sur Val-d'Isère avec un arrêt pique-nique au bord du lac du Chevril face à Tignes 2000.
On quitte Val-d'Isère pour le sommet de notre route, le Col de l'Iseran. La montée offre une vue plongeante sur toute la vallée que nous quittons. Le sommet avec sa chapelle et son panneau mainte fois vus en photos sont là devant mes yeux mais le plus beau reste la vue vers le sud, que de montagnes …que de cols restants.
La descente superbe puis la liaison sur Modane s'effectue sans encombre. Mes amis profitent de me faire visiter la Maison penchées …ça dégourdis les jambes et remet les idées d'aplomb. Tout juste ce qu'il faut pour attaquer la montée du Col du Télégraphe, petite descente sur Valloire et montée sur le Col du Galibier qui fait tant souffrir les cycliste du Tour. Bon vu la météo bougonne point de cycliste, les quelques deux roues présents montent sur la retenue vu l'adhérence précaire. La vue du col sous un ciel sombre est spectaculaire, la descente sur le sommet du Col du Lautaret se fait sur des œufs. Petite pause café, puis descente sur Briançon sur une route très roulante sans grand intérêt …si ce n'est de passer à côté de la piste du Trophée Andros, on dirait un parking de superette, faudrait revoir ça avec de la neige.
La montée sur le Col de l'Izoard se fait bon train, y'a pas beaucoup de monde, les paysage sont splendides, les couleurs saturées donnent un côté surréaliste. J'adore…
La descente sans encombre nous amène à Guillestre pour la dernière friandise du jour, le Col de Vars, belle route bien large, pas un chat en vue …une belle bourre pour clôturer cette première journée. Dodo à Vars (Ste-Marie), l'hôtel Alpage offre un accueil de premier choix, en plus la bière y est excellente …et bien méritée.
Après une nuit de repos, départ pour le reste du Col de Vars qui vaut surtout pour sa descente sur St-Paul. Puis on met la flèche à gauche avant Jausier pour la montée du Col de la Bonette. Que dire du spectacle si ce n'est que c'est à couper le souffle, absolument grandiose …en plus y'a pas foufoule alors on se défoule, quelle vue.
La descente s'opère bon train, la route se fait plus étroite parfois, il faut être vigilant.
La montée puis le Col St-Martin nous amène dans les Gorges de la Vésubie, nous profitions pour y faire un arrêt pique-nique. Puis c'est le Turini …oui celui du MonteCarl, et d'autre épreuves automobile locales comme en témoigne les innombrables traces de pneus qui lardent l'asphalte. Une pensée tout de même pour celui qui à fait deux belles traces noires droit dans la falaise dans les premiers lacets
Notre élan est toutefois brisé net dans les 3 derniers km de la montée, un tapis de gravillons tout frais posé attend que le temps fasse son œuvre. C'est sûrement le moyen le plus efficace pour faire baisser la vitesse sur les routes, même en Elise on se croirait dans une barque au-delà de 40km/h …efficace je vous dis.
Arrivé en haut, nous avons la surprise de la route barrée donc pas de descente sur Sospel, pas de Col de Castillon et pas de Menton. Qu'à cela ne tienne, il reste la descente sur Lucéram par la D2566, avec ses épingles en escalier et aucune circulation, c'est l'occasion de tester la tension du câble du frein à main.
Arrivé aux abords de Nice, je quitte le groupe pour récupérer Madame à Antibes. Le retour dans la civilisation est rude, le trafic est omniprésent et les 25min de queue en plein soleil pour payer €1.40 au péage de l'A8 me mettent les nerfs à rude épreuve. Franchement ces péages barrières, même en Italie y'en a plus, bloquer la circulation pour encaisser des sommes ridicules, c'est de la préhistoire routière.
Heureusement, tout fini bien puisque je trouve une place pour garer l'Elise en bord de mer dans la ligne droite entre Cagnes et Antibes …et je pique une tête dans la grande bleu
Nous rejoignons le reste du groupe pour passer la nuit dans les hauts de Cannes à Mouans-Sartoux. Nous apprécions d'être choyé à l'hôtel Louisiane, l'accueil, le repas et le service y sont excellents …ce qui est loin d'être commun sur la Côte d'Azur
Le troisième jour démarre dans la torpeur du dimanche matin, y fait déjà 27°C faut dire qu'on est plus ou moins à zéro mètre, ce qui change des matins frais en montagne.
Nous partons sur la Route Napoléon par Grasse vers Castellane, peu de trafic, belle routes et paysages. De Castellane nous obliquons vers le Lac de Castillon pour un premier arrêt. Le spectacle du paysage se reflétant dans les eaux calmes de ce lac est merveilleux.
De là nous remontons par le Col de Toutes Aures pour arriver aux Gorges de Daluis, la roche rouge et la route qui hésite entre tunnel et évitement et digne du pitch des meilleurs jeux vidéo, hallucinant …faut juste pas tomber sur un anglais distrait parce que no way, ça ne croisera pas. En visuel, c'est digne de Zion aux US, mais beaucoup plus serré, just great en Elise.
Après le repas pris à Guillaumes, la ville pas un copain, nous attaquons le Col de Tapecul …heu non je veux dire Cayolle. Celui-là ils ne l'ont pas fait depuis 1973 au Tour de France …et ça se voit, enfin ça se sent surtout.
Arrêt essence, he oui il faut en mettre parfois, et glace à Barcelonnette avant de repartir pour le Col de Vars. Descente à bonne allure sur Guillestre …je suis tellement content que je loupe la route pour l'Izoard, je me rends compte de ma bévue qu'après St-Crépin. Un "t" au lieu du "p" me semble approprié ici, je continue toutefois sur Briançon puis la montée du Col du Lautaret. Un arrêt pour attendre mes amis qui ne se sont pas trompé de route me permet d'acquérir contre la modique somme de € 6.- la carte de la Route des Grandes Alpes. Ma passagère munie de ce précieux sésame, plus aucun désagrément ne nous a contrariés. Tant la montée du Galibier que la descente sur Valloire se sont faites bon train sur des routes dégagées. Arrivée à Valloire et dodo à l'hôtel Le Tatami, je ne peux malheureusement pas recommander cet établissement, il souffre en comparaison des deux lieux d'hébergement précédents.
Le dernier jour deux Elise nous quittent pour rentrer direct sur Genève …par l'autoroute quelle idée, non mais.
Nous parcourons toutefois ensemble le Col du Télégraphe puis direction Modane et la montée du Cold de l'Iseran sous un soleil radieux. Au sommet nous rencontrons une cousine, Speedster Turbo, emmenée voire la mer par son gentil propriétaire.
La descente sur Val-d'Isère est vertigineuse, là faut vraiment pas se louper, mais quel spectacle. Une pause dîner sur la terrasse du Monal à St-Foy Tarentaise nous permet de préparer la suite de l'itinéraire qui passe par l'Italie avant le retour en Suisse.
A Séez nous obliquons à droit pour la monter du Col du Petit St-Bernard, route sublime pas un chat, il faut dire que c'est l'heure de la sieste. La descente sur le versant italien est plus tourmentée, toutefois superbe. Arrivé à La Thuile, ça ne s'invente pas, la route pour le Val d'Aoste est barrée jusqu'à 16h. Heureusement un itinéraire de secours existe par le Col San Carlo qui monte à 1'900m, c'est une découverte, 12 km de virages …que du bonheur. Bon parfois ce n'est pas super large mais vu la taille de la route sur la carte je m'attendais à pire. Arrivé dans le Val d'Aoste une chaleur infernale nous enveloppe, vivement qu'on tourne à gauche…
La montée du Col du Grand St-Bernard est un classique de retour de vacances jusqu'à l'embranchement pour le tunnel pour moi. C'est large et presque ennuyeux, la route du col par contre si on oublie les 5 premiers km, minés par les travaux, est une merveille. Arrivé en haut, ce sont les souvenirs de 30 ans qui remontent, les pique-niques avec les parents. Je n'étais jamais remonté là depuis…
La descente sur le versant suisse est belle aussi et elle nous ramène à la maison.
En résumé, quatre jours 1'525km et 27 passages de cols, des paysages fantastique et une auto qui marche de mieux en mieux, le bonheur quoi.
Voici encore quelques clichés qui illustrent ce périple:
Dernière édition par your momo le 05 juil. 2009 21:17, édité 2 fois.
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Merci pour ton récit, ça fait envie, j'avais fait il y a 3 ans une bonne partie de ton périple. Domage pour le Turini, qui est sympa du côté de Sospel. Sinon, il y a aussi le col de Braus dans le coin. Enfin, les gorges du Cians, c'est encore plus joli que celles de Daluis, faudrait que je retrouve les photos...
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Fais pêter les photos, si c'est plus beau que les gorges du Daluis, je parts séance tenante, j'ai des Toyo à roder ...ha oui, il faut que je vous parle de mes nouvelles chaussettes...dahu a écrit :...Enfin, les gorges du Cians, c'est encore plus joli que celles de Daluis, faudrait que je retrouve les photos...
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Gasp, c'est beau ces gorges du Cians, mais ça sent le truc plein de cyclistes et du coup pas très roulant 
http://images.google.ch/images?q=gorges ... e&resnum=4
Mais pas sûr que la route offre autant de sensations que ça:
http://i.pbase.com/o4/12/700412/1/66270 ... IA_060.jpg
http://farm4.static.flickr.com/3601/354 ... c4.jpg?v=0
...et là y'a pas le son
http://images.google.ch/images?q=gorges ... e&resnum=4
Mais pas sûr que la route offre autant de sensations que ça:
http://i.pbase.com/o4/12/700412/1/66270 ... IA_060.jpg
http://farm4.static.flickr.com/3601/354 ... c4.jpg?v=0
...et là y'a pas le son
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La Route des Grandes Alpes en plus de m'avoir permis de découvrir de nouvelles routes et des paysages superbes, m'a aussi permis de finir mes pneus arrières, qui n'étaient déjà pas au mieux en partant, que dire de leur état au retour…
Pour les avants, le problème est que l'Elise, très légère, les uses peu et ils sont vieux avant d'être usés. J'ai fait 900 + 1'500 bornes avec des pneus avant en bois, je ne suis pas sûr qu'ils aillent perdu 1mm durant ces périples pourtant bien animées.
Sur les conseils avisés du Mage Cristal, je suis passé au Toyo888, mon premier semi-slick. Il faut dire que faisant peu de km/année, autant user les pneus avant qu'ils soient foutus. Donc ce vendredi, changement de chaussettes sur l'Elise.
Que dire pour résumer ce changement? Oui, un mot: GRIP
Le grip est juste hallucinant, et en plus ce pneu est plus confortable, moins bruyant et comme il croche plus, on change moins les vitesses, donc on roule plus coule …mais on va plus vite
Cette Elise A111 est un plaisir continu, chaque changement se ressent, cette voiture a plus de 10 ans, mais elle marche mieux que quand elle était neuve …Je ne pense pas que beaucoup de modèles de voitures actuelles peuvent se vanter de ça.
P.S. La limite des Toyo sur le sec, c'est le courage du pilote, le grip est juste phénoménal
P.S 2 La limite des Toyo sur le mouillé est encore à démontrer, donc prudence…
Pour les avants, le problème est que l'Elise, très légère, les uses peu et ils sont vieux avant d'être usés. J'ai fait 900 + 1'500 bornes avec des pneus avant en bois, je ne suis pas sûr qu'ils aillent perdu 1mm durant ces périples pourtant bien animées.
Sur les conseils avisés du Mage Cristal, je suis passé au Toyo888, mon premier semi-slick. Il faut dire que faisant peu de km/année, autant user les pneus avant qu'ils soient foutus. Donc ce vendredi, changement de chaussettes sur l'Elise.
Que dire pour résumer ce changement? Oui, un mot: GRIP
Le grip est juste hallucinant, et en plus ce pneu est plus confortable, moins bruyant et comme il croche plus, on change moins les vitesses, donc on roule plus coule …mais on va plus vite
Cette Elise A111 est un plaisir continu, chaque changement se ressent, cette voiture a plus de 10 ans, mais elle marche mieux que quand elle était neuve …Je ne pense pas que beaucoup de modèles de voitures actuelles peuvent se vanter de ça.
P.S. La limite des Toyo sur le sec, c'est le courage du pilote, le grip est juste phénoménal
P.S 2 La limite des Toyo sur le mouillé est encore à démontrer, donc prudence…
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Remplacer la navigatrice par un GPS
Il n'y a pas que les pneus à changer, la prochaine fois remplace la navigatrice par un GPS !
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Quand un GPS sera capable de faire ne serait-ce que le quart de ce que fait la navigatrice dans cette voiture, on discutera ...et je ne parle pas de ce que la navigatrice sait faire en dehors de cette voiture
P.S. J'ai un GPS, mais il ne me propose jamais la route que je veux prendre. Il me sert juste à savoir si le prochain tounant est une courbe ou une épingle ...c'est ça le progrès
P.S. 2 Depuis que j'ai un GPS, je fait un nombre incroyable de demi-tour, de là à voir un rapport de cause à effet
P.S. J'ai un GPS, mais il ne me propose jamais la route que je veux prendre. Il me sert juste à savoir si le prochain tounant est une courbe ou une épingle ...c'est ça le progrès
P.S. 2 Depuis que j'ai un GPS, je fait un nombre incroyable de demi-tour, de là à voir un rapport de cause à effet
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Une navigatrice à la hauteur
Suis bien d'accord avec toi, j'ai rencontré les mêmes problèmes avec le GPS. Rien ne vaut une navigatrice à la hauteur, encore faut-il la trouver.
Sur la Lancer ce sont surtout les pneus avant qui trinquent, les A048 n'ont tenu que 5'000 km sans sortie circuit !
J'ai déjà sillonné une bonne partie des routes énumérées ci-dessus, ce sont des régions magnifiques, surtout hors saison, et il me reste de ces voyages quelques photos intéressantes prises en argentique !
Sur la Lancer ce sont surtout les pneus avant qui trinquent, les A048 n'ont tenu que 5'000 km sans sortie circuit !
J'ai déjà sillonné une bonne partie des routes énumérées ci-dessus, ce sont des régions magnifiques, surtout hors saison, et il me reste de ces voyages quelques photos intéressantes prises en argentique !
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