Ma Lotus Elise
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nathalie1310
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Je tenais à te remercier Sebastien de m'avoir fait découvrir ta superbe auto en tant que passagère mais surtout de m'avoir proposé de la conduire. Je suis touchée de la confiance que tu as eu sans pour autant vraiment me connaître.
Alors tous les Asphaltiens sachez que je suis amoureuse...... JAMAIS je n'aurais dû m'asseoir dans cet bombe jaune, et encore moins me mettre à son volant...
malgré ses 122 ch d'origine j'avais l'impression d'avoir dans les mains une petite bombe de plus de 200 ch en comparaison à mon bateau... Mais il n'y a pas de comparaison possible... je comprend maintenant la devise Lotus "Light is right". Plus parlant que ça on ne trouve pas...
Tes conseils avisés lors des premiers mètres évitent d'avoir qqes suprises telles que : freins non assistés, volant non assistés etc
Le premier truc qui m'a rendu dingue c'est le bruit.... ce ronronnement qu'elle fait, à réveiller les morts, un son sublime qui vous prend aux tripes.
Très agréable à rouler avec ces rapports courts, un poil dur à les passer quand même quand on innove sur ce genre d'engin.
D'avoir roulé décapoté ne me dérangeait en rien, les vitres montées on ne sent quasi pas un souffle de courant dans l'habitacle.
J'ai aussi adoré la sobriété de l'habitacle. Juste ce qu'il faut. De l'alu et de l'alcantara. Pris peur 2 secondes en voyant la mini taille de la pédale des gaz
Eu peur de faire un super calage au démarrage mais finalement non j'ai quand même réussi à "dompter" l'animal sans me prendre une honte phénoménale 
.
J'ai été étonnée en bien des reprises et de l'accéleration qu'elle possède. Pédale à peine titillée qu'on s'envole quasi au paradis.
Bon Nath arrête de blaguer et va un peu rêver de la belle jaune
Seb encore un grand MERCI à toi
Alors tous les Asphaltiens sachez que je suis amoureuse...... JAMAIS je n'aurais dû m'asseoir dans cet bombe jaune, et encore moins me mettre à son volant...
malgré ses 122 ch d'origine j'avais l'impression d'avoir dans les mains une petite bombe de plus de 200 ch en comparaison à mon bateau... Mais il n'y a pas de comparaison possible... je comprend maintenant la devise Lotus "Light is right". Plus parlant que ça on ne trouve pas...
Tes conseils avisés lors des premiers mètres évitent d'avoir qqes suprises telles que : freins non assistés, volant non assistés etc
Le premier truc qui m'a rendu dingue c'est le bruit.... ce ronronnement qu'elle fait, à réveiller les morts, un son sublime qui vous prend aux tripes.
Très agréable à rouler avec ces rapports courts, un poil dur à les passer quand même quand on innove sur ce genre d'engin.
D'avoir roulé décapoté ne me dérangeait en rien, les vitres montées on ne sent quasi pas un souffle de courant dans l'habitacle.
J'ai aussi adoré la sobriété de l'habitacle. Juste ce qu'il faut. De l'alu et de l'alcantara. Pris peur 2 secondes en voyant la mini taille de la pédale des gaz
Eu peur de faire un super calage au démarrage mais finalement non j'ai quand même réussi à "dompter" l'animal sans me prendre une honte phénoménale . J'ai été étonnée en bien des reprises et de l'accéleration qu'elle possède. Pédale à peine titillée qu'on s'envole quasi au paradis.
Bon Nath arrête de blaguer et va un peu rêver de la belle jaune
Seb encore un grand MERCI à toi
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Minischumi
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Bon faut dire que tu n'es pas très grande non plusnathalie1310 a écrit :
D'avoir roulé décapoté ne me dérangeait en rien, les vitres montées on ne sent quasi pas un souffle de courant dans l'habitacle.
[]Ton réçit donne vraiment envie, Seb faudrait qvraiment que l'on se façe enfin se test
prochain CCSL?-
nathalie1310
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Minischumi
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J'en connais un qui a câlé 3 fois en 200m... 
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ZeusRS
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03' Clio Ragnotti
11' Elise CR - Localisation : Derrière mon volant (Ge)
Ca donne sacrément envie!! 
Seb, faudra le faire un de ces 4 l'échange de volants! Enfin bon, toi, ma Clio tu la connais maintenant, ne me reste plus qu'à découvrir la ptite anglaise...
Un de ces 4...
Seb, faudra le faire un de ces 4 l'échange de volants! Enfin bon, toi, ma Clio tu la connais maintenant, ne me reste plus qu'à découvrir la ptite anglaise...
Un de ces 4...
-=Black is Right=-
Merci de ne pas m'envoyer de MP, cette fonction m'a été bloquée, je ne peux pas y répondre.
Merci de ne pas m'envoyer de MP, cette fonction m'a été bloquée, je ne peux pas y répondre.
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SebM
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@Nathalie... mais c'est un plaisir... content que tu as aimé... c'est sur, une fois qu'on goute à une Lotus, on est vite "Addicted"...
@Minischumi... oui oui t'inquiete pas, j'ai pas oublié... on va faire ca...
@Pierre... ah oui ca me rappelle quelque chose... bon la personne en question n'avait pas les bonnes chaussures... donc ca aide pas...
@David... Yessss... mais ca fait partie du charme d'une Lotus... pis quand tu veux pour te rappeler ce que c'est un moteur central...
@Zeus... Ja ja... c'est aussi à organiser...
@Minischumi... oui oui t'inquiete pas, j'ai pas oublié... on va faire ca...
@Pierre... ah oui ca me rappelle quelque chose... bon la personne en question n'avait pas les bonnes chaussures... donc ca aide pas...
@David... Yessss... mais ca fait partie du charme d'une Lotus... pis quand tu veux pour te rappeler ce que c'est un moteur central...
@Zeus... Ja ja... c'est aussi à organiser...
L'ingratitude est la seule porte de sortie pour ceux que la reconnaissance embarrasse
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La grenouille
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Polon
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Polon vire sa cutie...
Après la journée de dimanche passé à Dijon, l'odeur de la gomme, de l'essence, les sensations d'une voiture dépouillée me manquaient déjà lundi matin... Décision a été prise de trouver un engin susceptible de garantir suffisamment de sensations pour un budget restant malgré tout raisonnable et surtout adaptée au débutant que je suis. Deuxième critère éliminatoire, pouvoir l'utiliser autant sur circuit que pour des virées improvisées seul ou à deux.
Après en avoir discuté avec les gourous de la chose, mon choix s'est porté sur la Lotus Elise. Encore indécis sur la version à choisir (et y en a un sacré paquet), entre une Mk1 ou Mk2, 111, 111S, 111R, moteur Rover ou Toyota, etc. etc., le choix est cornélien.
Donc j'ai décidé d'emmancher le problème par l'autre bout, à savoir le choix de la couleur. Ce sera British Racing Green. Au moins ça de sûr et certain.
Après y a le moteur. Ben là aussi, ça a été vite fait, à savoir : Rover. Un moteur Toyota dans une anglaise, c’est comme un moteur Opel dans une Alfa…
Pour me faire une idée des différents caractères de l'objet de toute les convoitises, SebM, Emilotus et Blackswan se sont gentiment proposés pour me prêter le volant de leur Belle pour un petit comparatif « maison » samedi après-midi… Merci infiniment les gars !!!!
Test 1 : Elise 111 Mk2, 122 CV – SebM’s car
Jaune safran, jantes noires. Une gueule d’enfer.
Ben l’enfer, parlons-en. Le diable ne s’est pas logé dans le moteur, mais dans l’échappement. Un bruit sourd à tous les régimes, amusant au départ, mais que je trouve difficile à vivre à bord, surtout sur des trajets à régime constant comme l’autoroute. Cette Elise attire tout de suite les regards, ou plutôt les oreilles.
Côté moteur, il s’agit du 1.8l d’origine Rover développant 122 CV d’origine. Largement suffisant surtout en accélération où il propulse la guêpe très vite à des vitesses « permiscides ». Cependant je le trouve un peu creux à bas régime. Une fois les 2500-3000 tours passés, il pousse sans cesse jusqu’au rupteur. La boîte courte, de plus affublée du short shift, est un régal à manier, précise et virile à souhait. Elle permet de compenser « la faiblesse » du moteur.
En conduite, cette Elise est très saine. Malgré la température faible de cet après-midi d’octobre, les virages sont enfilés avec facilité et à des vitesses impressionnantes. La voiture se place au millimètre sur la trajectoire choisie et à la relance les PZero semi-slicks supportent sans broncher la charge. L’amortissement (réglable) est d’une perfection absolue.
La direction elle aussi est très virile, étrangement lourde et dure comparée aux deux autres modèles essayés. Ce qui ne péjore en rien au plaisir de conduite. Bien au contraire !
Test 2 : Elise 111 S Mk2, 160 CV – Blackswan’s car
Noire, jantes noire. Splendide.
Quasi aucune différence avec le modèle essayé précédemment dans la finition, hormis le cuir et une instrumentation bleue.
Blackswan a équipé son bolide d’un échappement Larini absolument magnifique distillant des vocalises dignes d’une italienne !
La différence majeure se trouve sous le capot. Le moteur 1.8 Rover est équipé du calage variable et transmet sa fougue à une boîte longue, très longue. L’apport du VVC permet un gain notoire de couple à bas régime, permettant des départs fulgurants aux feux rouges passant au vert. Malheureusement cette fougue est vite contenue par la boîte 5 longue. Ceci fait qu’une fois le moteur dans les hautes révolution il n’y a quasiment pas de différence avec la 111 normale, en reprise notamment, à moins de rétrograder. Les kg supplémentaires de la version S ne se font pas sentir non plus. Par contre la direction est plus légère que sur la Lotus de SebM, à tel point que j’ai cru qu’elle était assistée…
En termes de comportement, aucune différence notoire.
Test 3 : Elise 111 S Mk1, 145 CV (si je ne fais erreur) – Emilotus’ car
Eh eh !!! Here is THE Pacha Cherry…
Bon. Rentrer à bord est déjà une expédition pour un grand gabarit comme moi à la souplesse de la justice de Berne. Les pontons latéraux du châssis remontent tellement haut qu’il me faut plus qu’un chausse-pied pour y rentrer… Capotée, l’exercice est encore plus ardu. Autant avoir un bon ostéo…
D’emblée, la différence de poids entre la Mk1 et la Mk2 se fait sentir. Cette Elise se conduit comme un kart, permet des envolées splendides avec les passages de vitesses à la volée (boîte courte) sans ressentir un quelconque essoufflement de la mécanique.
Au niveau du comportement, cette version s’avère plus pointue, moins conciliante avec le conducteur. Le train arrière n’hésite pas à se dérober. La monte pneumatique ainsi que l’amortissement y sont aussi peut-être pour quelque chose.
Sur route ouverte les vitesses légales permettent de contrer facilement les écarts de conduite de la voiture, mais sur circuit celà doit être une autre paire de manches.
En conclusion
Dotée d’un châssis aluminium, une carrosserie en plastique, un intérieur dépouillé, l’Elise transpire l’efficacité et la sportivité. Le plaisir délivré à bord est tellement grand que les performances passent au second plan. La vitesse importe très peu tant les sensations de conduite sont présentes dès la clé de contact tournée…
Le fait de n’avoir aucune assistance, aide électronique, qu’il faut taper dans les freins, le rapprochement des pédales, les couinements de la caisse, les gravillons qui tapent sous le châssis, la virilité de la boîte, renforcent l’impression de piloter un bolide de course. Tout ça en restant dans les limites LCR…
Inutile également de chercher à avoir plus de watts sous le capot, tant le rapport poids-puissance de l’auto permet des reprises canons.
Bref, une voiture passion dans tous les sens du terme, tellement pas pratique qu'elle ne sert strictement à rien sauf à me rendre encore plus allumé que je ne le suis déjà…
Donc, si tout va bien, ce sera pour moi une Mk2 111S, BRG. Et y aura bientôt une QP à vendre. Si y a des intéressés...
Après en avoir discuté avec les gourous de la chose, mon choix s'est porté sur la Lotus Elise. Encore indécis sur la version à choisir (et y en a un sacré paquet), entre une Mk1 ou Mk2, 111, 111S, 111R, moteur Rover ou Toyota, etc. etc., le choix est cornélien.
Donc j'ai décidé d'emmancher le problème par l'autre bout, à savoir le choix de la couleur. Ce sera British Racing Green. Au moins ça de sûr et certain.
Après y a le moteur. Ben là aussi, ça a été vite fait, à savoir : Rover. Un moteur Toyota dans une anglaise, c’est comme un moteur Opel dans une Alfa…
Pour me faire une idée des différents caractères de l'objet de toute les convoitises, SebM, Emilotus et Blackswan se sont gentiment proposés pour me prêter le volant de leur Belle pour un petit comparatif « maison » samedi après-midi… Merci infiniment les gars !!!!
Test 1 : Elise 111 Mk2, 122 CV – SebM’s car
Jaune safran, jantes noires. Une gueule d’enfer.
Ben l’enfer, parlons-en. Le diable ne s’est pas logé dans le moteur, mais dans l’échappement. Un bruit sourd à tous les régimes, amusant au départ, mais que je trouve difficile à vivre à bord, surtout sur des trajets à régime constant comme l’autoroute. Cette Elise attire tout de suite les regards, ou plutôt les oreilles.
Côté moteur, il s’agit du 1.8l d’origine Rover développant 122 CV d’origine. Largement suffisant surtout en accélération où il propulse la guêpe très vite à des vitesses « permiscides ». Cependant je le trouve un peu creux à bas régime. Une fois les 2500-3000 tours passés, il pousse sans cesse jusqu’au rupteur. La boîte courte, de plus affublée du short shift, est un régal à manier, précise et virile à souhait. Elle permet de compenser « la faiblesse » du moteur.
En conduite, cette Elise est très saine. Malgré la température faible de cet après-midi d’octobre, les virages sont enfilés avec facilité et à des vitesses impressionnantes. La voiture se place au millimètre sur la trajectoire choisie et à la relance les PZero semi-slicks supportent sans broncher la charge. L’amortissement (réglable) est d’une perfection absolue.
La direction elle aussi est très virile, étrangement lourde et dure comparée aux deux autres modèles essayés. Ce qui ne péjore en rien au plaisir de conduite. Bien au contraire !
Test 2 : Elise 111 S Mk2, 160 CV – Blackswan’s car
Noire, jantes noire. Splendide.
Quasi aucune différence avec le modèle essayé précédemment dans la finition, hormis le cuir et une instrumentation bleue.
Blackswan a équipé son bolide d’un échappement Larini absolument magnifique distillant des vocalises dignes d’une italienne !
La différence majeure se trouve sous le capot. Le moteur 1.8 Rover est équipé du calage variable et transmet sa fougue à une boîte longue, très longue. L’apport du VVC permet un gain notoire de couple à bas régime, permettant des départs fulgurants aux feux rouges passant au vert. Malheureusement cette fougue est vite contenue par la boîte 5 longue. Ceci fait qu’une fois le moteur dans les hautes révolution il n’y a quasiment pas de différence avec la 111 normale, en reprise notamment, à moins de rétrograder. Les kg supplémentaires de la version S ne se font pas sentir non plus. Par contre la direction est plus légère que sur la Lotus de SebM, à tel point que j’ai cru qu’elle était assistée…
En termes de comportement, aucune différence notoire.
Test 3 : Elise 111 S Mk1, 145 CV (si je ne fais erreur) – Emilotus’ car
Eh eh !!! Here is THE Pacha Cherry…
Bon. Rentrer à bord est déjà une expédition pour un grand gabarit comme moi à la souplesse de la justice de Berne. Les pontons latéraux du châssis remontent tellement haut qu’il me faut plus qu’un chausse-pied pour y rentrer… Capotée, l’exercice est encore plus ardu. Autant avoir un bon ostéo…
D’emblée, la différence de poids entre la Mk1 et la Mk2 se fait sentir. Cette Elise se conduit comme un kart, permet des envolées splendides avec les passages de vitesses à la volée (boîte courte) sans ressentir un quelconque essoufflement de la mécanique.
Au niveau du comportement, cette version s’avère plus pointue, moins conciliante avec le conducteur. Le train arrière n’hésite pas à se dérober. La monte pneumatique ainsi que l’amortissement y sont aussi peut-être pour quelque chose.
Sur route ouverte les vitesses légales permettent de contrer facilement les écarts de conduite de la voiture, mais sur circuit celà doit être une autre paire de manches.
En conclusion
Dotée d’un châssis aluminium, une carrosserie en plastique, un intérieur dépouillé, l’Elise transpire l’efficacité et la sportivité. Le plaisir délivré à bord est tellement grand que les performances passent au second plan. La vitesse importe très peu tant les sensations de conduite sont présentes dès la clé de contact tournée…
Le fait de n’avoir aucune assistance, aide électronique, qu’il faut taper dans les freins, le rapprochement des pédales, les couinements de la caisse, les gravillons qui tapent sous le châssis, la virilité de la boîte, renforcent l’impression de piloter un bolide de course. Tout ça en restant dans les limites LCR…
Inutile également de chercher à avoir plus de watts sous le capot, tant le rapport poids-puissance de l’auto permet des reprises canons.
Bref, une voiture passion dans tous les sens du terme, tellement pas pratique qu'elle ne sert strictement à rien sauf à me rendre encore plus allumé que je ne le suis déjà…
Donc, si tout va bien, ce sera pour moi une Mk2 111S, BRG. Et y aura bientôt une QP à vendre. Si y a des intéressés...
[i] Having standards leaves you with only one choice... the best. [/i]
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